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La gestion et la classification des risques

La Gestion et la Classification des Risques

La discipline de la gestion des risques se normalise intensément ces dernières années. La filière académique s’organise et offre de plus en plus de formation en RM. Les publications de recherche universitaires, thèses et guides professionnels se multiplient. La dernière parution majeure est incontestablement la norme ISO 31000 en 2018 sur le Management du risque, qui instaure plus que jamais cette activité comme un élément stratégique de l’entreprise. 

Ulteam8 vous propose d’intervenir à 3 niveaux :

L’indentification et la cartographie des risques

• La diminution de la probabilité de survenance du risque

• Le transfert du risque


Notre nomenclature de risque simplifiée, repose sur un mixte de la classification FERMA/COSO, selon les fonctions de l’entreprise :
 

Est celui qui affecte le fonctionnement au quotidien de l’entreprise et dans ses processus de gestion.
Il peut être aussi défini comme « le risque de pertes provenant de processus internes inadéquats ou défaillants, de personnes et système ou d’évènements externes ». Les processus sont aussi visés par le risque opérationnel. En effet, dans un système organisé tel qu’une entreprise, l’on doit savoir clairement qui fait quoi et quand. Si les postes et les missions ne sont pas clairement définis, ils peuvent être des sources de risque. Les fonctions de support telles que les Ressources humaines et l’Informatique peuvent aussi générer des risques opérationnels.    

Dans la communication d’entreprise, les responsables sont souvent informés des activités de ses collaborateurs par voies de rapports ou de comptes-rendus écrits. Ils prennent des décisions à partir des flux d’informations reçus de la base ou de l’environnement extérieur.
Le risque de reporting ne concerne pas seulement le domaine de la comptabilité et de la finance, il peut être recherché dans les politiques sociale et environnementale de l’entreprise.    

Risque de sanction judiciaire, administrative ou disciplinaire, de perte financière, d’atteinte à la réputation, du fait de l’absence de respect des dispositions législatives et réglementaires, des normes et usages professionnels et déontologiques, propres aux activités règlementées.
Ce risque mérite une veille de la part de l’entreprise dans la mesure où les lois et règlements ne sont pas statiques.
Le risque juridique peut être assimilé au risque de non-conformité puisqu’il découle de l’inapplication d’une règle de droit du fait d’une méconnaissance pure et simple de la règle ou de l’ignorance de l’évolution de celle-ci. 

Les choix d’investissement, quel que soit leur mode de financement, font appel à des arbitrages. Ces derniers devant prendre en compte l’environnement tant interne qu’externe de l’entreprise peuvent être sources de perte d’argent.
Parmi ces risques, nous citons par exemple le risque de taux de change, le risque de taux d’intérêt et le risque de liquidité.    

Risque majeur qui peut mettre l’entreprise dans une situation dont son existence serait menacée. Il peut être une catastrophe naturelle ou une combinaison de risques.    

Pourrait résulter des erreurs de choix dans la fixation des objectifs. Si les choix sont judicieux, le risque pourrait donc provenir soit de l’environnement extérieur devenu défavorable dans le temps, soit d’un défaut ou d’un manque de ressources sur lesquelles l’entreprise s’est basée pour bâtir sa stratégie.